M997.63.411 | Pearkes : Pourtant notre "blue-print" était appelé à un bel avenir
Pearkes : Pourtant notre "blue-print" était appelé à un bel avenir
Normand Hudon
1961, 20e siècle
Encre, crayon et blanc opaque
26.6 x 31.5 cm
Don de Mme Arlette Hudon
M997.63.411
© Musée McCord
Description
Mots-clés : Angleterre (6) , Arme atomique (12) , armement (105) , Bombe atomique (4) , Caricature (19359) , Conflits internationaux (608) , dessin (18380) , Dessin (18637) , Enjeux internationaux (660) , Etats-Unis (177) , Fédéral (334) , Forces armées (2) , France (47) , George Pearkes (1) , Guerre (141) , Guerre froide (153) , International (540) , Masculin (1426) , Ottawa (71) , Parti progressiste-conservateur du Canada (109) , Partis politiques (800) , personnage (1484) , politique (10929) , Politique (1624) , Relations diplomatiques (484) , Russie (188) , Test (1)
Clefs pour l'histoire
Les prétentions canadiennes au rang de puissance nucléaire sont tournées en dérision dans cette caricature qui compare désavantageusement les effets potentiels d'une bombe canadienne par rapport à celles développées par d'autres pays au début des années 1960.
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Quoi
Plusieurs nations font exploser des bombes nucléaires au cours des années 1940 et 1950. La question du développement de cette technologie préoccupe la classe politique canadienne, particulièrement pendant le passage au pouvoir des progressistes-conservateurs de John Diefenbaker, entre 1957 et 1963.
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Où
En 1960, seulement quatre pays possèdent la bombe nucléaire : les États-Unis, l'Union soviétique, le Royaume-Uni et la France.
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Quand
La question des armes nucléaires et de la collaboration entre les gouvernements canadien et américain dans ce domaine est fort discutée à la fin des années 1950 et au début des années 1960.
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Qui
Le progressiste-conservateur George Pearkes est ministre fédéral de la Défense de 1957 à 1960.
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